Librement inspiré de « Oscar et la dame en rose » d’Eric-Emmanuel Schmitt
avec Valerio Bongiorno, Sara Cicenia
texte et mise en scène Riccardo Colombini
décors Marco Muzzolon
collaboration aux costumes Mirella Salvischiani
lumières Matteo Crespi
Avec le soutien de
Spectacle lauréat de Tagad’Off 2015 Festival de Nouvelle Dramaturgie Lombarde de Residenza Teatrale Ilinxarium
« Il n’y a pas de sujets tabous, il y en a de difficiles, singuliers, qui exigent du temps, de trouver la manière, les mots et des attentions particulières ». (Bruno Tognolini)
Un lieu comme suspendu, submergé de lettres et un couple de personnages: peut-être facteurs ou gardiens de rêves, mis face à un dilemme couleur d’encre.
Leur devoir est de trier et d’adresser toutes ces enveloppes, de manière méthodique et toujours identique; mais un jour arrive une lettre différente des autres, sans timbre et sans adresse.
Au dos, d’un simple trait bleu et enfantin: « De Mario à Dieu. »
La curiosité les pousse à ouvrir la lettre, et c’est la fracture, bouleversante de vérité: Mario est en train de mourir, Mario est un enfant. Et il écrit à Dieu pour parler de sa propre fin, pour poser des questions innocentes et désarmantes sur ce qui l’attend: de quelle couleur est la mort? Quel est son parfum? Quelle est sa musique? Questions déconcertantes.
Aux deux facteurs il ne reste plus qu’à répondre, dans cette dimension irréelle qui vient de se créer: comment peut-on faire semblant d’être Dieu? Et puis qui est Dieu vraiment?
Il en découle un échange de lettres, un dialogue intime, en forme de voyage initiatique, vers cette ligne d’arrivée, sans rien perdre de ce chemin de vie: parler de la vie, en imaginant vivre sept jours comme si chaque jour fût dix ans. Joies, déceptions, amours, petits et grands deuils: la mosaïque d’une existence pas forcément extraordinaire, mais toujours unique.
À travers l’imagination et cet échange épistolaire, remplir de sens ce peu de temps qui reste, et se rassasier de vie.
Dans une lettre, le symbole d’une grande lutte: un hymne à la vie, à l’espoir et au courage de chaque jour.
Leur devoir est de trier et d’adresser toutes ces enveloppes, de manière méthodique et toujours identique; mais un jour arrive une lettre différente des autres, sans timbre et sans adresse.
Au dos, d’un simple trait bleu et enfantin: « De Mario à Dieu. »
La curiosité les pousse à ouvrir la lettre, et c’est la fracture, bouleversante de vérité: Mario est en train de mourir, Mario est un enfant. Et il écrit à Dieu pour parler de sa propre fin, pour poser des questions innocentes et désarmantes sur ce qui l’attend: de quelle couleur est la mort? Quel est son parfum? Quelle est sa musique? Questions déconcertantes.
Aux deux facteurs il ne reste plus qu’à répondre, dans cette dimension irréelle qui vient de se créer: comment peut-on faire semblant d’être Dieu? Et puis qui est Dieu vraiment?
Il en découle un échange de lettres, un dialogue intime, en forme de voyage initiatique, vers cette ligne d’arrivée, sans rien perdre de ce chemin de vie: parler de la vie, en imaginant vivre sept jours comme si chaque jour fût dix ans. Joies, déceptions, amours, petits et grands deuils: la mosaïque d’une existence pas forcément extraordinaire, mais toujours unique.
À travers l’imagination et cet échange épistolaire, remplir de sens ce peu de temps qui reste, et se rassasier de vie.
Dans une lettre, le symbole d’une grande lutte: un hymne à la vie, à l’espoir et au courage de chaque jour.
Un spectacle qui s’attache à faire naître les sourires, en abordant avec légèreté des sujets profonds et en amorçant d’importantes réflexions.
RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRES
Âge conseillé: à partir de 9 ans
Techniques utilisées: théâtre d’acteur
Durée: 1 h environ
Plateau minimum: 6 X 7 m
Charge électrique totale: 16 KV
Temps d’assemblage: 3 h environ
Temps de démontage: 1 h environ